02
Les communautés comme remède
à l’isolement
La création de communautés partagées, d’espaces où chacun peut participer activement à la vie collective, redonne sens à notre appartenance. Repenser la ville comme un lieu de rencontre, de partage et de soutien mutuel permet de sortir de l’isolement.
L’urbanisme participatif devient alors une réponse à la quête humaine de lien, d’appartenance et d’engagement. Les habitants se retrouvent engagés dans une dynamique de solidarité, où chacun devient acteur de son environnement, et non simple consommateur d’un espace standardisé.
Les valeurs fondatrices de la ville reprennent alors vie et cette dernière redevient un espace pour échanger des idées, rapprocher les cultures et tester de nouvelles formes de vivre ensemble.
1254 Av. de l'Hôtel-de-Ville
03
L’espace comme levier
du bien-être collectif
La ville ne doit plus être pensée comme une accumulation de bâtiments, mais comme un tissu vivant où l’espace devient un bien commun. Il ne s’agit pas de construire plus, mais de construire mieux, en valorisant chaque mètre carré au service du bien-être collectif.
Les espaces privatifs cèdent une partie de leur emprise pour laisser place à des lieux de rencontre et de partage. Les infrastructures collectives deviennent alors le cœur battant d’une urbanité plus humaine.
Dans une ville repensée en communautés, chaque espace est utilisé à son plein potentiel, rendant la ville plus inclusive et saine. L’avenir de l’espace urbain ne réside pas dans l’accumulation, mais dans la création d’espaces vivants où les habitants sont en constante interaction avec leur environnement et entre eux.
Bibliothèque et Archives nationales du Québec